J'avais été saisie par les mots inscrits en quatrième de couverture. J'avais retardé le moment de me plonger dans ce livre car je me doutais que ce serait dur. Je n'imaginais pas que ce serait merveilleux aussi.
Il y a des lectures qui ne vous laissent pas indemne. Des lectures qui vous heurtent, vous bousculent, jusque dans votre chair. Le recueil de nouvelles "Mémoires de corps" de Johanna Almos est de ces livres-là. Noir, fascinant, bouleversant, le corps se dévoile ici sous de multiples facettes. Il y a de ces lectures qui font vibrer quelque chose en vous, quelque chose de muet, d'organique. Cette vibration universelle qui fait de nous ce que nous sommes : des êtres humains. Mais il y a la manière de dire la peur, la douleur, la jouissance... Et ici, c'est au travers d'une écriture riche, sensible que les secrets que recèle le corps se révèlent. Il y a les tourments de la chair, mais aussi ceux de l'esprit qui se mêlent impalpables dans cette enveloppe de peau. 14 nouvelles pour dire ce qui reste derrière la blessure, ce dont le corps se souvient dans toute sa froideur anatomique, dans toute sa vérité. A lire !
Synopsis :
Il y a des lectures qui ne vous laissent pas indemne. Des lectures qui vous heurtent, vous bousculent, jusque dans votre chair. Le recueil de nouvelles "Mémoires de corps" de Johanna Almos est de ces livres-là. Noir, fascinant, bouleversant, le corps se dévoile ici sous de multiples facettes. Il y a de ces lectures qui font vibrer quelque chose en vous, quelque chose de muet, d'organique. Cette vibration universelle qui fait de nous ce que nous sommes : des êtres humains. Mais il y a la manière de dire la peur, la douleur, la jouissance... Et ici, c'est au travers d'une écriture riche, sensible que les secrets que recèle le corps se révèlent. Il y a les tourments de la chair, mais aussi ceux de l'esprit qui se mêlent impalpables dans cette enveloppe de peau. 14 nouvelles pour dire ce qui reste derrière la blessure, ce dont le corps se souvient dans toute sa froideur anatomique, dans toute sa vérité. A lire !
Le corps instrument de plaisir et de souffrance.
Le corps bafoué, abîmé, sali ou encensé.
C'est la peau qui détient nos secrets les plus intimes, nos angoisses les plus profondes.
Il n'est rien de plus effrayant que la guerre qui fait rage dans notre propre chair.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
1. Saisissez votre texte ci-dessous
2. Sélectionnez un profil
3. Cochez la case "M'informer", pour être avisé d'une réponse à votre commentaire
4. Publiez (le message sera affiché après modération)
Merci pour votre contribution :)