Si nous posions quelques chiffres au milieu des mots ?
Mon petit blog, lieu où éclosent mes errances créatives, a 3 mois. 22 articles sont publiés à ce jour, soit 2 publications par semaine, et déjà il dépasse les 1300 vues (promis ce n'est pas moi qui clique pour gonfler ces stats !).
C’est beaucoup ou c’est peu, tout cela est affaire de point de vue. Ce que je vois, c’est que mes textes intéressent, interpellent, trouvent écho, créent un dialogue avec d’autres écrits, d’autres auteurs, des amis lecteurs... C’est une alchimie inattendue et merveilleuse qui se compose en ce moment.
Les chiffres, c’est bien, mais...
... en fait, ça ne compte pas tant que ça... L’essentiel reste l’écriture, le texte, le travail sur les mots. Tout cela mis bout à bout orne des idées, des images qui me passionnent et j'aime cette exercice. Mon roman prend une forme qui me satisfait de plus en plus et les articles que je publie viennent enrichir d'une certaine manière ce travail romanesque. Plus j'écris, plus l'envie d'écrire s'accroche à moi. Les idées se multiplient, je ne sais si je pourrai les poser toutes sur le papier, mais ça ne coûte rien d'essayer.
Il faut tout de même perfectionner un peu le système.
N'ayons pas peur des mots : il fallait que ce blog, déjà très beau, entre dans les standards. Hé bien, c'est chose faite ! Pas trop tôt, me direz-vous ? Je vous répondrai : il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Mon petit blog, lieu où éclosent mes errances créatives, a 3 mois. 22 articles sont publiés à ce jour, soit 2 publications par semaine, et déjà il dépasse les 1300 vues (promis ce n'est pas moi qui clique pour gonfler ces stats !).
C’est beaucoup ou c’est peu, tout cela est affaire de point de vue. Ce que je vois, c’est que mes textes intéressent, interpellent, trouvent écho, créent un dialogue avec d’autres écrits, d’autres auteurs, des amis lecteurs... C’est une alchimie inattendue et merveilleuse qui se compose en ce moment.
Les chiffres, c’est bien, mais...
... en fait, ça ne compte pas tant que ça... L’essentiel reste l’écriture, le texte, le travail sur les mots. Tout cela mis bout à bout orne des idées, des images qui me passionnent et j'aime cette exercice. Mon roman prend une forme qui me satisfait de plus en plus et les articles que je publie viennent enrichir d'une certaine manière ce travail romanesque. Plus j'écris, plus l'envie d'écrire s'accroche à moi. Les idées se multiplient, je ne sais si je pourrai les poser toutes sur le papier, mais ça ne coûte rien d'essayer.
Il faut tout de même perfectionner un peu le système.
N'ayons pas peur des mots : il fallait que ce blog, déjà très beau, entre dans les standards. Hé bien, c'est chose faite ! Pas trop tôt, me direz-vous ? Je vous répondrai : il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Après un peu d'auto-documentation, j'ai réussi à ouvrir l'espace des commentaires au pied des articles. Plus besoin désormais d'être connecté à un réseau social pour réagir à mes textes !
Autre nouveauté : il est désormais possible de s'inscrire pour recevoir des alertes par mail lorsque de nouveaux articles sont publiés ! On arrête pas le progrès !Petit à petit ce petit blog s'améliore, évolue, devient de plus en plus douillet pour vous laisser rêver. Je vous remercie vraiment pour le regard bienveillant que vous posez sur mes textes, c'est un vrai réconfort de vous savoir ici. Il ne me reste qu'à vous souhaiter maintenant de bonnes contributions :)
je viens de lire ce petit texte d'Anne-Gaëlle, qui me touche beaucoup. Le voici:
RépondreSupprimerMon enfance se tient presque entière dans ce souvenir :
S’éveiller un matin d’été, dans une petite chambre en Provence par un rayon de soleil sur les paupières, et le cri des Pies et leurs coups de becs contre la vitre.
L’univers entier conspirait à une joie palpable, dense, lourde, vivante. La transparence éblouissait alors tout mon corps, une tendresse si forte, si forte et presque douloureuse, soulevait mes yeux et parlait : « Lèves-toi petite fille, lèves-toi et vas vite, joues ! »
La joie était alors plus urgente que moi-même, elle filait devant, et il fallait la suivre, courir, courir, courir derrière ses bonds invraisemblables.
Voilà pourquoi peut-être les petits enfants courent toujours. Ils sont précédés d’amour, précipités de joie, vifs comme la lumière.
Et je me levais et je jouais jusqu’à la nuit, jusqu’à la lune, supportant à peine ce cœur si gros de contenir l’amitié de tous les mondes qui se donnaient rendez-vous en lui. De l’amour, j’étais encore sûre, et de moi-même, ignorante jusqu'au point de ne pas savoir, en regardant les étoiles, où je commençais, où je terminais.(facebook: Anne-Gaëlle Personnage fictif;les jours.
http://www.annegaelle.ch/)