Humaine, exigeante, drôle, engagée, délirante, internationale, divertissante, avant-gardiste, amicale, chaleureuse, cultivée, nostalgique, bavarde, intime, hilarante, apaisante, douce, sauvage, underground, libre, vintage, festive... Nova aime. Nova me lave aussi. Et Nova me cajole. Il paraît aussi que Nova me culbute (du moins, c'est ce qu'elle dit !). Mais à n'en pas douter : Nova me répare (l'audition d'abord, elle recadre mes sourires par la même occasion). Pour tout cela, il fallait que j'écrive ici, dans ce blog tout-beau-tout-neuf, un hymne à cette radio. Quel meilleur moyen de commencer l'année ?
Alors, je le crie, je le hurle, je le chante, je le grogne, je le murmure aussi : Nova, je t'aime !
Depuis que je l'ai découverte, il y a plusieurs années, elle berce mes matins et accompagne mes journées au rythme de ses musiques sorties de tous les genres, de tous les pays du monde. Elle s'est faite une place à part dans mon quotidien et accompagne mes rêveries romanesques, mes parenthèses littéraires.
Et puis, on a déménagé dans notre petit coin de campagne. Tout était pour le mieux : du vert à perte de vue, des couchers de soleil uniques et des ciel étoilés à couper le souffle... chaque jour ! Mais voilà, nous n'étions pas/plus/pas encore raccordés à Internet... Dans ce lieu, où la radio et les téléphones deviennent des objets quasi décoratifs par manque d'onde, sa voix ne résonnait plus à mes réveils. Dans mon bonheur, j'ai eu un petit pincement au cœur. Arriverai-je encore à écrire sans elle ? Parce que j'ai pris goût au voyage sur ses rythmes : grâce à elle, je parcourais les déserts de sable et de glace, je m'abritais sous des tentes nomades et m'endormais au son de trompettes latines.
Jusque là ordinaire, je comprenais alors qu'elle était plus qu'une radio que l'on écoute fidèlement. C'était une présence amie, qui m'accompagnait doucement de l'éveil au quotidien, œuvrant à l'éveil du quotidien. Elle n'était plus là et je ne pouvais accepter de tout perdre. Je me suis donc agrippée à l'écriture, comme au dernier pont qui me permettait d'atteindre les rives de mon univers imaginé. Le chemin était tracé et j'ai suivi les sentiers qu'elle avait dessiné dans le souvenir de son silence. Et puis, un jour, le raccordement a eu lieu... Le miracle du wifi me l'a enfin rendue. Maintenant, je ne la quitte plus. Depuis quelques semaines, je peux même l'écouter dans ma voiture, de 2.1 à 3.0, en boucle. Et, lorsque je ne l'écoute pas, je la fredonne, parce que, oui, Nova, je t'aime !
Pour passer une belle année, tout ce que je peux vous souhaiter c'est d'aimer Nova. Elle vous donnera amour, joie et hilarité. La porte du bonheur auditif, c'est par là :
Bonne année à tous ;-)
Alors, je le crie, je le hurle, je le chante, je le grogne, je le murmure aussi : Nova, je t'aime !
Depuis que je l'ai découverte, il y a plusieurs années, elle berce mes matins et accompagne mes journées au rythme de ses musiques sorties de tous les genres, de tous les pays du monde. Elle s'est faite une place à part dans mon quotidien et accompagne mes rêveries romanesques, mes parenthèses littéraires.
Et puis, on a déménagé dans notre petit coin de campagne. Tout était pour le mieux : du vert à perte de vue, des couchers de soleil uniques et des ciel étoilés à couper le souffle... chaque jour ! Mais voilà, nous n'étions pas/plus/pas encore raccordés à Internet... Dans ce lieu, où la radio et les téléphones deviennent des objets quasi décoratifs par manque d'onde, sa voix ne résonnait plus à mes réveils. Dans mon bonheur, j'ai eu un petit pincement au cœur. Arriverai-je encore à écrire sans elle ? Parce que j'ai pris goût au voyage sur ses rythmes : grâce à elle, je parcourais les déserts de sable et de glace, je m'abritais sous des tentes nomades et m'endormais au son de trompettes latines.
Jusque là ordinaire, je comprenais alors qu'elle était plus qu'une radio que l'on écoute fidèlement. C'était une présence amie, qui m'accompagnait doucement de l'éveil au quotidien, œuvrant à l'éveil du quotidien. Elle n'était plus là et je ne pouvais accepter de tout perdre. Je me suis donc agrippée à l'écriture, comme au dernier pont qui me permettait d'atteindre les rives de mon univers imaginé. Le chemin était tracé et j'ai suivi les sentiers qu'elle avait dessiné dans le souvenir de son silence. Et puis, un jour, le raccordement a eu lieu... Le miracle du wifi me l'a enfin rendue. Maintenant, je ne la quitte plus. Depuis quelques semaines, je peux même l'écouter dans ma voiture, de 2.1 à 3.0, en boucle. Et, lorsque je ne l'écoute pas, je la fredonne, parce que, oui, Nova, je t'aime !
Pour passer une belle année, tout ce que je peux vous souhaiter c'est d'aimer Nova. Elle vous donnera amour, joie et hilarité. La porte du bonheur auditif, c'est par là :
Bonne année à tous ;-)
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